Reading the words of the abominable trump about Haiti, I can’t help but think of the Haitian friends I spent a few months in port-AU-Prince.
I think of them and what they must feel when they see their country, the first in the history of humanity to be free from slavery and to establish a Republic, called « country of shit » by the most idiotic head of state That the world has known.
I reproduce here the comment from Fortune Edris, a young Haitian Director who was part of the « …
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« To talk of peace is not hard. To live it is very hard. » Cochise in Broken Arrow, directed by Delmer Daves, 1950.
Merci cher Abbas mon professeur ton film sur l’Irak m’a beaucoup appris et m’a ouvert les sur le rôle joué par l’impérialisme américain dans la destruction de la culture d’un peuple.
J’étais ému de voir une autre image de l’Irak, une image semblable à la nôtre.
Une image qui laisse apercevoir l’amour, l’amitié et la joie de vivre….
Le « coeur » va aux mots de Fortune, évidemment. Trump, quelle crasse, quelle tristesse… Lui comme tant d’autres qui masquent aux yeux du monde la richesse d’une culture et d’un peuple. Un vérité et une dignité rétablies par vous, Abbas, pour l’Irak, et par vous aussi je l’espère, Fortune, pour Haiti.